Cet article met en lumière la rhétorique extrémiste de Donald Trump lors des élections présidentielles américaines. Le milliardaire, cerné par la justice américaine, semble prêt à tous les mensonges pour éviter sa propre fin politique avant le scrutin du 5 novembre. Ses propos outranciers et extrémistes, dépourvus d’ambiguïtés et de provocations travesties en traits d’humour, sont devenus une habitude pour lui au fil des années.
Lors d’une récente interview sur Fox News, Trump a désigné l’ennemi intérieur comme étant l’alliance des gens malades et des fous de la gauche radicale, suggérant que la Garde nationale voire l’armée devraient intervenir pour y remédier. Ses attaques contre ses adversaires politiques, notamment Kamala Harris, ont atteint un niveau de vulgarité inacceptable, la qualifiant de mentalement déficiente et handicapée.
Trump promet également de mener la plus grande opération d’expulsion de clandestins de l’histoire américaine, en alimentant la peur et la paranoïa autour de l’immigration. Ses discours apocalyptiques sur une Amérique en déclin, infestée de criminels étrangers, visent à renforcer sa base de partisans.
En outre, Trump établit un lien entre migrants et criminels, utilisant la xénophobie comme un outil politique pour galvaniser ses partisans. Il invoque même une loi datant de 1792, l’Alien Enemies Act, pour justifier des mesures extrêmes contre les non-citoyens.
Cette rhétorique extrémiste de Trump, bien que choquante pour de nombreux observateurs, semble trouver un écho favorable chez une partie de l’électorat américain. Il est crucial de reconnaître l’impact de ces discours sur le climat politique et social aux États-Unis, ainsi que sur la perception internationale du pays en cette période électorale cruciale.
En fin de compte, les élections présidentielles américaines de 2020 seront un test majeur pour la démocratie et les valeurs fondamentales du pays. Il revient aux citoyens américains de décider s’ils veulent continuer à soutenir une rhétorique aussi extrémiste et diviseuse, ou s’ils préfèrent opter pour un discours plus inclusif et respectueux. L’avenir de l’Amérique en dépend.