La guerre au Proche-Orient continue de faire des ravages, avec des frappes israéliennes sur la banlieue sud de Beyrouth et d’autres zones au Liban et en Syrie. Selon le ministère libanais de la santé, six personnes ont été tuées, dont un enfant, dans une frappe israélienne sur la ville de Baalbek, tandis que des secouristes affiliés au Hezbollah ont rapporté que trois personnes ont été tuées et de nombreux blessés lors de frappes à Beyrouth.
L’armée israélienne a également annoncé avoir visé environ 300 cibles du Hezbollah au Liban et avoir tué un haut responsable financier du Hezbollah en Syrie. En réponse à ces attaques, l’Iran a mis en garde les États-Unis sur leur pleine responsabilité en cas d’agression par Israël. De plus, des militants d’extrême droite en Israël ont appelé au retour de colons juifs à Gaza.
La situation reste tendue, avec de nouvelles frappes israéliennes annoncées contre le Hezbollah au Liban et l’installation d’un système de défense antimissile américain en Israël pour contrer de potentielles attaques iraniennes. La France, par le biais du ministre des armées Sébastien Lecornu, exprime sa préoccupation face au risque de guerre civile imminente au Liban.
La communauté internationale, y compris l’ONU, condamne les dégâts causés aux installations civiles et appelle à un cessez-le-feu. La diplomatie est également en action, avec des discussions entre l’Iran et le Bahreïn pour contenir l’escalade au Moyen-Orient.
Dans ce contexte de violence et de tensions croissantes, il est essentiel de chercher des solutions pacifiques pour éviter une escalade du conflit et protéger les populations civiles affectées par ces frappes incessantes. La situation au Proche-Orient reste volatile et incertaine, avec des conséquences humanitaires dévastatrices pour les populations locales.