Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a reconnu pour la première fois dimanche avoir autorisé l’attaque aux bipeurs contre le Hezbollah libanais en septembre, a déclaré son porte-parole, Omer Dostri, à l’Agence France-Presse (AFP).
Les attaques se sont intensifiées dans la région, avec des frappes israéliennes causant la mort de nombreuses personnes en Palestine et au Liban. L’Iran a appelé à exclure Israël de l’ONU après une frappe en Syrie ayant tué neuf personnes, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme.
En réponse à ces attaques, l’Iran a demandé un embargo sur les armes contre Israël et son exclusion des Nations unies. Les frappes israéliennes ont également touché des régions en Syrie et au Liban, causant de nombreuses pertes humaines.
La tension est extrêmement élevée, avec des recommandations aux citoyens israéliens d’éviter certains événements et lieux à risque. Le président français Emmanuel Macron a déclaré qu’il se rendrait au match France-Israël pour envoyer un message de solidarité après des actes antisémites intolérables.
En parallèle, l’armée israélienne a affirmé avoir intercepté deux drones en approche à l’est d’Israël, soulignant les défis sécuritaires auxquels la région est confrontée. Les écoles dans le nord d’Israël ont rouvert malgré les menaces constantes du Hezbollah.
La situation reste très tendue, avec des annonces de mobilisation de forces de l’ordre pour assurer la sécurité lors du match France-Israël au Stade de France. Malgré les tensions croissantes, le préfet de police de Paris a déclaré qu’il ne bloquerait pas un gala organisé par Israël Is Forever ni une manifestation prévue en opposition.
En résumé, les conflits au Proche-Orient continuent de causer des pertes humaines et de créer une atmosphère de peur et d’incertitude. Les dirigeants internationaux tentent de maintenir la paix et la sécurité, mais la situation reste volatile.