Israël a mené des frappes aériennes importantes contre le Hezbollah au Liban. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré qu’Israël devait ramener ses otages lors d’une cérémonie commémorant l’attaque du Hamas il y a un an. Les tensions entre le Hezbollah et les forces israéliennes sont clairement visibles à Tyr, au Sud-Liban.
Le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, a souligné l’attachement indéfectible de la France à la sécurité d’Israël lors d’une cérémonie en hommage aux victimes de l’attaque du Hamas. Les Brigades Ezzedine al-Qassam, branche armée du Hamas, ont revendiqué des tirs de roquettes depuis la bande de Gaza sur le sud d’Israël et à Tel-Aviv.
Le chef de la diplomatie jordanienne, Ayman Safadi, a accusé Israël d’être responsable de l’escalade des tensions qui pourraient entraîner le Moyen-Orient dans une guerre régionale. Le ministre de la Défense israélien a même menacé l’Iran de frappes similaires à celles menées à Gaza et Beyrouth.
Emmanuel Macron a réaffirmé l’engagement de la France envers la sécurité d’Israël tout en appelant à un cessez-le-feu. Une policière a été tuée lors d’une attaque à Beersheva, faisant également dix blessés. Le Hamas a signalé la mort de 26 personnes dans une frappe israélienne sur une mosquée à Deir al-Balah.
Israël a encerclé la zone de Jabalia dans le nord de Gaza et a pilonné la région. Des milliers de personnes se sont rassemblées à Londres et Paris pour commémorer les victimes du 7 octobre, tandis que d’autres ont manifesté en soutien aux Palestiniens de Gaza et du Liban.
Le bilan des victimes à Gaza est fourni par le ministère de la Santé dirigé par le Hamas, qui collecte des informations des hôpitaux de l’enclave et du Croissant-Rouge palestinien. La situation au Moyen-Orient reste tendue et instable, avec des actions militaires et des menaces de représailles des différentes parties impliquées.