Accord historique sur Gaza: Approbation tardive du gouvernement israélien
Après des jours d’incertitude et de tensions, le cabinet de sécurité israélien a finalement donné son aval au projet de cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Cette décision intervient après des récriminations et des surenchères de la part des ministres d’extrême droite, retardant ainsi le processus.
Des espoirs libérés dans la nuit
La confirmation est arrivée dans la nuit du 17 janvier, à 4h49 du matin, lorsque le bureau du premier ministre israélien a annoncé que des accords avaient été conclus pour la libération des otages. Cette nouvelle a été accueillie avec soulagement après des jours d’attente et d’incertitude.
En début d’après-midi, le cabinet de sécurité israélien a formellement approuvé l’accord de cessez-le-feu en trois phases, mettant ainsi fin à quinze mois de guerre dans la région. Cette décision fait suite à l’annonce préalable du président américain Joe Biden, deux jours plus tôt.
Les réticences du gouvernement israélien
Malgré les avancées, les réserves de dernière minute de M. Nétanyahou et les surenchères des ministres d’extrême droite ont retardé le processus. L’annonce précoce de l’accord par Donald Trump, président élu, a également contribué à la pression exercée sur le gouvernement israélien pour parvenir à un consensus.
Promouvoir la paix dans la région
Donald Trump a déjà anticipé les prochaines étapes, en se félicitant de l’accord de cessez-le-feu et en soulignant l’importance de poursuivre les efforts pour promouvoir la paix dans la région. Son implication continue dans les négociations et son soutien aux accords historiques d’Abraham montrent l’engagement des États-Unis envers la résolution pacifique des conflits au Moyen-Orient.